Disponible depuis ce vendredi 25 décembre sur Netflix, la série Les chroniques de Bridgerton cartonne. L’un des personnages principaux, Simon Basset, interprété par l’acteur Regé-Jean Page, fait des ravages.
Son sourire ravageur en fait chavirer plus d’un. Dans la série La Chronique des Bridgerton, réalisée par Shonda Rhimes et disponible depuis ce vendredi 25 décembre sur Netflix, l’un des nombreux personnages sort du lot. Le mystérieux duc d’Hastings, Simon Bassett, campé par l’acteur anglo-zimbabwéen Regé-Jean-Page, ne laisse en effet personne indifférent. Ce petit bijou qui transporte les téléspectateurs en 1813 en pleine Régence britannique, à la manière d’un Gossip Girl vintage, va-t-il le propulser vers le devant de la scène ? À en croire nos confrères du magazine Esquire, ce “leading man” est bien parti pour rester sous le feu des projecteurs. Ils le surnomment alors “l’homme phare de la prochaine décennie”.
Né au Zimbabwe, Regé-Jean Page a posé ses bagages à Londres alors qu’il n’avait que 14 ans. D’après les révélations de BFMTV, fouler le plancher l’a toujours fait vibrer. Après le lycée, il a alors intégré le prestigieux cours de théâtre du Drama Center London, avant d’en ressortir diplômé en 2013. Ambitieux, le comédien a mis toutes les chances de son côté en s’envolant pour Los Angeles. Pendant un an, il a jonglé avec les langues et les pays. À l’aise dans tous les registres, il n’a refusé aucun rôle. Pas même celui du dresseur de poules dans l’Amérique esclavagiste de la mini-série Racines, en 2016, avec Forest Whitaker et Laurence Fishburne. Un vrai couteau-suisse du cinéma. “Il sait chanter, danser, jouer, il peut tout faire. Il écrit aussi. C’est un artiste. Ce n’est pas si courant de rencontrer de vrais artistes, surtout dans notre génération”, l’a complimenté l’acteur britannique Malachi Kirby dans Square Mile.
Quid de sa vie personnelle ? Le mystère plane sur son intimité, comme le rapporte Cosmopolitan. Regé-Jean Page ne court pas les tapis rouges et pointe rarement le bout de son nez dans de grands événements. Il n’offre pas non plus de coup d’œil sur sa vie privée. Sur les réseaux sociaux, l’intéressé se montre toujours aussi discret. Entre deux publications engagées, notamment pour le mouvement Black Lives Matter, il partage des Unes de magazine, des images de tournage ou des sessions farniente à la plage. Pas plus, pas moins. Si ce n’est la manière dont se prononce son prénom : “C’est comme la musique reggae, et le prénom Jean.”
Un rôle qui lui colle à la peau
Homme de son temps, Regé-Jean Page ne pouvait qu’aimer prêter ses traits au duc d’Hastings. Pour faire briller son personnage, le comédien serait sans cesse plongé dans la littérature, la musique et la danse anglaise, selon BFMTV. Son seul intérêt, comprendre ses ancêtres. À l’époque où tous préconisaient la masculinité, comment raisonnaient-ils ? Quelle place laissaient-ils au féminisme ? “Nous observons cette romance régence à travers un prisme féminin, en examinant ce que signifie la masculinité pour un antihéros un peu cassé, comme mon personnage, et comment il peut s’autoriser à changer et être aimé”, a-t-il expliqué dans les colonnes du Guardian.
Article écrit avec la collaboration de 6Medias
Crédits photos : Backgrid USA / Bestimage
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