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Christophe Michalak aurait pu être traumatisé par l’absence de son père qu’il n’a rencontré qu’à l’âge de ses 6 ans, puis par leur relation très compliquée. Mais au lieu de cela, le célèbre pâtissier de 46 ans a préféré transformer sa colère en énergie.
S’intéressant à ces personnes qui ont une énergie hors norme, Aujourd’hui en France a recueilli ses confidences dans son édition du 15 août 2019. L’occasion pour Christophe Michalak d’évoquer une nouvelle fois son passé et celui qui n’a jamais été tendre avec lui. “Chez moi tout le monde bouffait des raviolis Buitoni. Mon salon se composait de deux transats de jardin. Mon père ne m’a jamais appelé par mon prénom, et on déménageait tout le temps au gré de ses piteux business“, confie le grand pâtissier. Face à tant d’ignorance, celui qui a travaillé avec les plus grands chefs, Alain Ducasse, Pierre Hermé… s’est isolé : “Je me suis réfugié dans les comics.“
Malgré la douleur de ne pas avoir vraiment eu de père, Christophe Michalak s’est transformé en combattant que rien ne pouvait atteindre. Une philosophie de vie qu’il a toujours conservé depuis. “Si quelqu’un me met à terre, je vais serrer les dents et je vais me relever. La colère est une réaction qui m’a beaucoup aidé pour m’en sortir“, s’épanche-t-il. Fort heureusement, sa mère et sa grand-mère ont été là pour lui apporter l’amour nécessaire.
En 2015, Christophe Michalak s’était déjà confié sur son père, lors de l’émission Toute une histoire de Sophie Davant, supprimée depuis par France 2. “J’ai rencontré mon père de 6 à 14 ans, mais ce n’est pas une très belle histoire. Ce n’est pas quelqu’un de fort sympathique et je n’en garde pas un très bon souvenir. Cette résilience… Si je dois remercier mon père, c’est de m’avoir apporté ce goût de revanche“, avait-il expliqué, en présence de Georges Blanc et Ghislaine Arabian.
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