Il est toujours là, tel un fantôme de béton. Ce qu’il reste du pont Morandi de Gênes (Italie), effondré il y a maintenant un mois, le 14 août dernier, coupe la ville en deux, isolant presque totalement tout un quartier. Les commerçants y perdent leurs clients. Les travaux de déblaiements se poursuivent, aucun calendrier n’est encore fixé pour la reconstruction d’un prochain pont.Un violent traumatisme pour les habitants de GênesPour les habitants de la ville, la vision du morceau de pont suspendu est mortifère, anxiogène. Les 630 personnes qui vivaient sous le pont ont été évacuées, elles ne reviendront peut-être plus jamais vivre ici. Au traumatisme s’ajoute l’incertitude de l’avenir proche. Les autorités annoncent avoir trouvé une centaine de logements sociaux pour les habitants du quartier Morandi et promettent que l’ensemble des 255 familles sera relogé avant la fin du mois de novembre.Le JT
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JT de 12/13 du vendredi 14 septembre 2018 L’intégrale
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