Une rose à la main, dimanche 16 septembre le personnel soignant s’est rassemblé devant un hôpital de la localité d’Atmé, dans le nord-ouest de la Syrie, tout près de la frontière avec la Turquie. Inquiets d’une possible offensive du régime de Bachar al-Assad, ils demandent à la communauté internationale de les protéger.
On réclame l’arrêt des frappes contre les hôpitaux. Le personnel médical est neutre. Nous soignons les civils touchés par les frappes de l’aviation russe ou de l’aviation d’Assad.Fadi al-Amour, infirmierà l’AFP
Ces dernières semaines, des bombardements alliés russes ont touché inopinément des centres de soins. Malgré les données de localisation fournies aux belligérants par l’ONU, le 6 septembre, un hôpital situé dans le nord de la province de Hama, voisine d’Idleb a été touché par une frappe aérienne, le mettant “hors service”. Deux jours plus tard, une clinique installée dans une grotte dans la province d’Idleb, a été endommagée perdant une partie de son matériel.Click Here: Cheap France Rugby Jersey