La tribune est aux abois et la femme du Premier ministre cambodgien Bun Rany Hun Sen en reste baba! Entre Carla et Nicolas ça fait chabadabada…
Si Nicolas a le privilège du roi, nombreux sont les chevaliers servants qui font la cour à Carlita. François Fillon et Hervé Morin ont d’ailleurs gagné le coeur… de la file!
Un seul être vous manque, et les Champs-Elysées sont dépeuplés…
Sac sur les genoux façon Bernadette, et petite bouteille d’eau à portée de main, notre première dame guette une apparition de son cher et tendre. Heureusement, Carla a toujours une bonne amie (ou une invitée de prestige) à qui vanter les mérites de son petit mari.
Lorsque son « amoureux » est loin de ses bras, Carla dépérit. Mais dès qu’il lui prend la main, elle revit. Emportés par la foule, les tourtereaux roucoulent.
Le premier ministre indien voit un avenir commun avec la France… Le Président de la République préfère lui couver d’une main bien-intentionnée l’arrière-train de sa svelte et délicieuse épouse. Regarder loin, c’est bien. Être à deux, c’est mieux
Incandescents devant les blindés, Carla et Nicolas sont toujours aussi tactiles dans les jardins du Palais. Manmohan Singh n’en revient toujours pas…
Impossible de résister. Même dans ses tenues sages, Carla irradie. Et la moindre parcelle de sa chair dévoilée est un appel à la caresse. En prime, un regard de femme fatale très « si je t’aime, prends garde à toi! »
Si la saison estivale est propice au romantisme, la Fête nationale a littéralement attisé la flamme du couple Sarkozy. Du défilé des forces armées à la garden-party, les tourtereaux du 55 Faubourg Saint-Honoré n’ont eu de cesse de fusionner, multipliant les élans passionnés et les regard enflammés.
Si la force de frappe nationale est super-entraînée, la force d’attraction des époux de l’Elysée est tout bonnement irrésistible. Revue d’un bataillon de gestes tendres.
J.B
Mercredi 15 juillet 2009