En résidence à Las Vegas, Britney Spears a profité de son show pour faire savoir qu’elle se remettait particulièrement bien de la trahison de son boyfriend.
Il y a quelques mois, on pensait qu’à 32 ans, l’ex-lolita des écuries Disney avait enfin trouvé chaussure à son pied en la personne de David Lucado, cet ex-barman qui semblait si bien l’apaiser. Encore une fois pourtant, ce n’était pas le bon.
Jeudi 28 août, sur son compte Twitter, Britney Spears évoquait son récent célibat en postant un soupir sans équivoque “Ahhhh! La vie de célibataire…” Il semblerait en effet que la jeune femme ait surpris les roucoulades de son compagnon dans les bras d’une autre femme, via une vidéo que Jamie Spears, le père de la chanteuse, s’est empressé de racheter pour éviter qu’elle ne soit diffusée.
Pour Britney, le verdict est sans appel: dehors le traître! Non seulement il a vu ses appels bloqués sur le téléphone de sa chérie, mais la proximité physique est également bannie. Des mesures qui semblent profiter à Brit-Brit, puisqu’elle a montré sur scène qu’elle se portait comme un charme et ne regrettait rien.
C’est lors de son Britney Jean show à Las Vegas qu’elle a évoqué l’affaire face à ses spectateurs: “Tout le monde sait maintenant que mon petit-ami m’a trompée” commence-t-elle, ébranlée, avant de se reprendre, facétieuse, “la meilleure chose quand votre mec vous trompe, c’est que ça signifie qu’il va y avoir un nouveau premier rendez-vous.” Finalement, c’est une Britney au bord de l’hystérie qui s’est mise à hurler pour demander à ce que “les mecs hots” de la salle se manifestent.
Un appel auquel a répondu le blogueur people, Perez Hilton, qui s’est retrouvé quelques instants plus tard, harnaché de cuir, hilare en suivant Britney Spears au bout de la laisse qu’elle lui avait attaché d’une main de maîtresse pour entonner son tube Freakshow. Une aventure qu’il s’est empressé de commenter avec humour sur son compte twitter: “@britneyspears a fait de moi sa bitch-littéralement!”
Britney, experte en pétages de plombs, semble bien gérer la crise, espérons qu’il ne s’agisse pas là des prémisses d’une nouvelle descente aux enfers.
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